Le Coronavirus, on ne cessera donc pas d’en parler encore et encore ? Chaque jour, une nouvelle information à propos de la maladie apparaît mais, jamais rien qui pourrait annoncer un moyen de traitement découvert. En attendant, la Chine expérimente d’autres méthodes de dépistage et le type de masque à porter risque d’être imposé.
Fiabilité présumée du test anal en Chine
Alors que la méthode générale de dépistage de la Covid-19 demeure le frottis dans le nez et la gorge, la Chine exploite désormais une autre méthode. Ce pays qui ne cessera jamais d’innover et de surprendre comme ce fut le cas avec la maladie même effectue ses tests de dépistage par voie anale.
Cette méthode serait bien plus fiable que les autres, car le virus demeure plus dans la partie anale que dans les voies respiratoires. Plusieurs habitants de Pékin ont subi ce test, de même que les voyageurs débarqués et mis en quarantaine dans les hôtels. Cela aurait permis de détecter beaucoup plus de personnes infectées. Mais, l’on peut juger cette méthode peu orthodoxe, car personne n’a envie de se faire farfouiller l’anus.
Décrédibilisation du masque en tissu
Alors qu’il était jugé fiable contre la contamination par la Covid-19, l’efficacité du masque fabriqué artisanalement est remise en cause. En effet, les variantes du virus récemment découvertes seraient capables de briser la barrière du masque artisanal pour atteindre les personnes.
Le Haut Conseil de la santé publique français mentionne l’utilisation des masques médicaux. Le port du masque FFP2 pourrait passer d’un choix à une obligation. Si ces nouvelles variantes de la maladie n’étaient pas si doublement contagieuses, l’utilisation du masque en tissu ne serait pas compromise.
Les masques industriels avec un pouvoir filtrant de plus de 90 % seront autorisés. Mais, les masques faits maison ne possèdent pas cette capacité et il faut donc les remplacer.
La méthode de dépistage du coronavirus par voie anale va-t-elle se généraliser ? Quel est l’avenir des masques en tissu ?