La Chine représente le pays dans lequel le Coronavirus s’est déclaré en premier et a fait des ravages. Aujourd’hui, alors que les autres pays ont du mal à se relever, la Chine est presque totalement remise et son économie ne pouvait mieux se porter. Alors qu’un autre confinement se pointe à l’horizon, les prévisions économiques sont positives.
Une bonne gestion de la maladie par la Chine
Aujourd’hui, la Chine comptabilise moins de 80 nouvelles infections au coronavirus malgré l’apparition des nouvelles variantes pourtant très infectieuses. Aussi, les mesures de confinement sont prises au moment opportun afin d’éviter une contagion en masse.
Dans ce sillage, les Chinois qui devraient normalement se déplacer pour aller célébrer le Nouvel An chinois en famille ne pourront pas le faire. En effet, des dispositions ont été prises afin de les faire renoncer à ce déplacement cette année. C’est cela qui va impacter favorablement l’économie.
Une période intense d’activité durant ce confinement
Si les prévisions économiques se présentent si positivement malgré ce confinement, c’est parce que ces Chinois empêchés de voyager ne resteront pas inactifs en attendant de pouvoir partir. Habituellement, lorsque le Nouvel An chinois approche, les activités connaissent un long arrêt qui coure d’une semaine avant la fête aux sept semaines suivantes.
Cela constituait un véritable frein temporaire à l’économie, car les capitaux ne circulaient plus. Mais puisque cette année les travailleurs seront toujours là, ce manque ne se fera pas sentir. Le pays engrangera plutôt des bénéfices jamais obtenus à cette période de l’année.
Aussi, plusieurs entreprises ont déclaré vouloir rattraper le travail en retard. En effet, leurs activités ont considérablement régressé pendant la période chaude de la pandémie et il faut donc renverser la situation à ce moment peu critique. Le pays qualifié d’usine du monde pourra produire à nouveau des produits à mettre sur le marché international qui recouvre progressivement sa santé.
La Chine suit une très belle trajectoire économique qui pourrait l’amener au grade de première puissance mondiale devant les États-Unis.